Si les chaînes hi-fi sont des objets actuellement fort répandus, les appareils dits d’exception sont par nature fort rares. L’apanage d’amateurs aussi maniaques que fortunés (mais pas que). Les engins produits ont tous pour point commun d’être somptueux tant au regard qu’à l’écoute. Pour l’amoureux de la musique, leur écoute est une expérience aussi indispensable que le concert.
La gravure présentée ici figure parmi les toutes premières réalisées, aussi son dessin est plus simple que les versions tardives. Cette série est baptisée Muji du nom de l’inventeur de l’outil utilisé pour la dessiner.


L’avion chasseur d’éclairs, de tempêtes et autres phénomènes spectaculaires et héroïques. C’est un avion-laboratoire à aile haute et turbopropulseurs. Il est doté de nouveaux moyens d’observation et de mesures des éclairs intranuageux ce qui est une grande première. Sa structure de conception inédite lui permet d’affronter sans dommage les plus violentes  bourrasques. Cette machine vole encore pour l’approvisionnement des stations scientifiques subpolaires sibériennes.
La technique employée pour la gravure, un peu différente de la première série, offre un rendu plus fin, plus réaliste (toutes proportions gardées bien entendu). Nous la baptisons “Too” du nom de l’outil utilisé pour la dessiner.


Ce fabuleux engin est le premier à utiliser les moteurs à poudre froide, ainsi que des blocs de fuselage usinés dans la masse. Ce procédé fait appel à une main-d’œuvre spécifiquement formée, fondement d’un corpus de chercheurs et développeurs. Les domaines sont à la fois dans la conception des engins et des outillages pour les fabriquer/entretenir.  Quantité d’agences pour l’emploi les remercient encore, tant ces métiers sont demandés et pourvoyeurs d’emploi pour l’industrie encore de nos jours.
La gravure présentée ici figure parmi les toutes premières réalisées, aussi son dessin est plus simple que les versions tardives. Cette série est baptisée Muji du nom de l’inventeur de l’outil utilisé pour la dessiner.


Cette imprimerie est incroyablement novatrice, elle utilise 50 ans en avance le principe de nos imprimantes à jet d’encre actuelles mais en (nettement) plus grand. La technologie de l’époque impose l’usage d’encres et de pigments tellement coûteux à fabriquer qu’elles en condamnent finalement l’usage à grande échelle. Il faut attendre les années 80 et l’avènement de l’informatique personnelle pour voir resurgir cet excellent principe… sur nos bureaux.
La technique employée pour la gravure, un peu différente de la première série, offre un rendu plus fin, plus réaliste (toutes proportions gardées bien entendu). Nous la baptisons “Too” du nom de l’outil utilisé pour la dessiner.


La locomotive électrique du Chien qui fume se caractérise par une motorisation à courant alternatif qui met en mouvement un curieux duo de moteurs à pistons. Pistons qui sont mus en fait par des électro-aimants qui vont et viennent au gré du changement de polarité du courant. La variation de vitesse est obtenue en variant la fréquence de ce courant à l’aide d’un convertisseur tournant embarqué. La puissance des moteurs est transmise par un complexe jeu de bielles, capable de compenser une différence de synchronisation d’un moteur à l’autre. Le procédé, notamment de transmission, sera utilisé sous diverses déclinaisons jusque dans les années 60.
Ses caractéristiques : Poids : 70 tonnes (le cuivre c’est lourd) - Nombre d’essieux moteurs : 1 - Puissance : 300 KW en régime standard - Vitesse de service : 80 Km/h.
La technique employée pour la gravure, un peu différente de la première série, offre un rendu plus fin, plus réaliste (toutes proportions gardées bien entendu). Nous la baptisons “Too” du nom de l’outil utilisé pour la dessiner.


La motocyclette à turbine est une rareté. On n’a jamais imaginé embarquer un tel appareillage sur un deux roues. Pourtant Le chien qui fume l’a fait ! Cette singularité est rendue possible par l’emploi d’un générateur de vapeur chauffé par pile à hydrogène. Sobre et très fiable, cette machine construite à de nombreux exemplaires n’aura malheureusement qu’un succès local. Très appréciée pour sa tenue de route, son confort (ça ne vibre pas du tout une turbine) et son caractère novateur, elle est aujourd’hui très recherchée par les collectionneurs.
Ses caractéristiques : Longueur : 2,85 mètres - Poids en service : 360 kilogrammes - Turbine à vapeur à 3 étages - Chaudière à vaporisation rapide type “serpollet”, chauffée par pile à combustible - Puissance en sortie de convertisseur : 60 KW - Capacité : deux personnes - Autonomie vérifiée officiellement à 110 Km/h : 1750 Km.
La technique employée pour la gravure, un peu différente de la première série, offre un rendu plus fin, plus réaliste (toutes proportions gardées bien entendu). Nous la baptisons “Too” du nom de l’outil utilisé pour la dessiner.


On vous parle comme ça d’une moto à vapeur, alors le moins qu’on vous doive c’est de vous en montrer l’intérieur. Nos deux chercheurs on fait de vraies prouesses techniques pour créer cette mécanique à la fois performante et belle. Alors, pourquoi coupée, le coupe ? Et bien simplement parce qu’elle est en coupe longitudinale dans l’axe de l’engin mais les moteurs qui sont au nombre de deux, un de chaque côté du châssis sont eux-aussi montrés en coupe. Si l’on avait suite le premier de ces axes, vous n’auriez vu qu’une silhouette surmontée de tubes ce qui , avouez-le vous aurait gravement frustré… et nous aussi par la même occasion !
La technique employée ici pour la gravure, un peu différente de la première série, offre un rendu plus fin, plus réaliste (toutes proportions gardées bien entendu). Nous la baptisons “Too” du nom de l’outil utilisé pour la dessiner.

Elle est disponible sur le site dès le 15 juin


Voici la motteau dans toute son intimité. Dans cet élégant triptyque, vous pouvez prendre la mesure de l’inventivité de nos deux savants pour loger de belles mécaniques en des espaces réduits.
La technique employée pour la gravure, un peu différente de la première série, offre un rendu plus fin, plus réaliste (toutes proportions gardées bien entendu). Nous la baptisons “Too” du nom de l’outil utilisé pour la dessiner.

Elle est disponible sur le site dès le 22 juin


Cette navette spatiale est très novatrice car autonome et surtout dotée de propulseurs sans carburants dangereux. Capable d’atterrir et décoller verticalement, elle n’est structurellement qu’un super-avion conventionnel mais adapté aux contraintes du vol sidéral (renforcé de partout, en fait). Sa modularité en fait un outil de tout premier ordre dans le cadre d’un projet de construction de station orbitale. Projet qui ne verra malheureusement jamais le jour. La gravure présentée ici figure parmi les toutes premières réalisées, aussi son dessin est plus simple que les versions tardives. Cette série est baptisée Muji du nom de l’inventeur de l’outil utilisé pour la dessiner.


Imaginés au début des années cinquante, ces petits sous-marins destinés à l’entretien de pêcheries offshore sont remarquables à plus d’un titre. D’abord leur conception qui fait appel à des procédés d’usinage à la pointe. Mais aussi par l’utilisation de certaines propriétés des métaux qui dans cette configuration servent de ballast variables. Une solution qui permet un gain de place inconnu jusque-là. A propulsion électrique, là-aussi, il se distingue par l’usage de batteries d’un tout nouveau genre, triplant la capacité des générateurs classiques à encombrement égal. Il n’en reste malheureusement aucun exemplaire visible aujourd’hui. La gravure présentée ici figure parmi les toutes premières réalisées, aussi son dessin est plus simple que les versions tardives. Cette série est baptisée Muji du nom de l’inventeur de l’outil utilisé pour la dessiner.


Tramway modulaire électrique à courant alternatif. Construit dans les années 20, il est remotorisé lors de sa modernisation survenue plusieurs décennies après, selon les plans de nos deux savants. C’est le premier engin de transport ferroviaire de série à utiliser ce type de courant. Sa capacité est de 35 personnes par voiture mais l’on peut en atteler plusieurs à la fois. D’une petite dizaine de mètres de long, l’engin peut se faufiler dans les rues de n’importe quel centre ville ce qui le rend fort pittoresque. Le chien qui fume est décoré en 1921 pour l’invention du moteur alternatif. La gravure présentée ici figure parmi les toutes premières réalisées, aussi son dessin est plus simple que les versions tardives. Cette série est baptisée Muji du nom de l’inventeur de l’outil utilisé pour la dessiner.


Remorqueur de mer pour le halage des plate-formes piscicoles en haute mer de Barents. De conception relativement classique, leurs moteurs comportent toutefois la particularité d’utiliser des couples pistons-cylindres en céramique de Kiev ultra résistante. L’ensemble de la flottille existe toujours, employée par la marine russe pour la manœuvre des sous-marins nucléaires, à l’intérieur des restes de la base de Mourmansk. Mais pas que, en effet le port de commerce, un des cinq plus importants de Russie tend à les employer de plus en plus lors des pointes de trafic. La gravure présentée ici figure parmi les toutes premières réalisées, aussi son dessin est plus simple que les versions tardives. Cette série est baptisée Muji du nom de l’inventeur de l’outil utilisé pour la dessiner


LE TVSKOP

Cet appareil est remarquable en tout point car c’est un précurseur. Tout d’abord, il n’est que partiellement optique et surtout, bourré d’électronique. Bon c’est l”éctronique de l’époque alors on plaide un peu d’indulgence ! Mais nonobstant ce handicap de l’immaturité, on peut sans conteste lui revendiquer la paternité du pixel et donc de l’image numérique. En effet, tout d’abord nos précieux savants ont tenté d’utiliser les capacités photophiles de certains planctons pour le les transformer en impulsions électriques et enfin les traduire après passage dans une loupe électronique (un ampli, en fait), en image. Inutile de dire que c’était à la fois très compliqué et le résultat, disons hasardeux. Loin de se décourager (avec les dirigeants de l’époque, c’était une garantie de survie), l’équipe de fer réussit à mettre au point un système de nano-miroirs orientables qui concentrait la lumière sur des tubes photoréactifs . Traduits, là encore en impulsions électriques, “agrandies” par des amplificateurs thermoïoniques (à lampes, quoi). Un principe qui de loin n’est pas sans faire penser aux actuels écrans LCD. Là, on touchait juste. Le téléscope, baptisé TVSKOP fut à la hauteur des espérances et permis nombre d’observations inédites, jusqu’à sa transformation en radio-téléescope. Mais là, c’est une autre histoire !